De l'ombre à ... l'exposition

Une lettre de François NA…PO…LI à Guy DEB…UIS…SON circule actuellement sur le net à l’initiative de Jean CAR RER…RE.

Dans sa lettre (lien), le scripteur condamne l’anonymat de Bruno Martin, et les méfaits d’Internet.

Pour ce qui concerne l’anonymat, François NA…PO…LI a eu là l’idée géniale de critiquer l’anonymat de Bruno MARTIN auprès de Guy DEB...UIS...SON, ce qui lui permet de sortir du sien tout en provisionnant du mérite pour enrichir son tablier.

Chapeau l’artiste ! Mais pour ne pas encourager la servilité, nous ne le proposons pas directement au tableau des Membres Donneurs de la GLP-TP. Cela risquerait en effet de lui valoir une promotion que peut-être il attend en récompense de sa courageuse position (au fait, quel risque courre-t-il à part une promotion?). Nous le proposons toutefois pour un repêchage :

Le message de Jean CAR…RE…RE, auquel il fait allusion en parlant à Guy DEB…UIS…SON de « son secrétariat » (inculture ou servilité ?), date du 22 déc  2011, et annonce avec fermeté une plainte contre « le site malhonnête et menteur de Bruno Martin », plainte que nous l’avions vivement encouragé à déposer, et dont nous sommes toujours sans nouvelles à ce jour (lien vers: cet échange)!

Qu’il demande à Jean CAR…RE…RE où cela en est. Que l'un ou l'autre apporte une réponse, et nous reconsidérerons sa candidature au palmarès des Membres Donneurs.

Pour ce qui concerne Internet, notre scripteur devrait revoir ses classiques et notamment la position d’Esope sur « la meilleure et la pire des choses » de laquelle il ressort que c’est l’usage que l’on en fait qui fait qu’une chose est bonne ou mauvaise. Or, Internet véhicule sans doute autant de conneries que de vérités, mais face aux voyous, ce média révolutionnaire présente un avantage extraordinaire : la rapidité, qui fait que les exactions de certains individus rattrapent leurs auteurs avant qu’ils ne soient sortis de la scène. Cela change beaucoup de choses!

Alors François Nap...oli, intéresses-toi aux faits que tu veux ignorer, et s'ils n'étaient pas avérés, tu pourras alors chercher une explication dans l'anonymat de celui qui les a portés à ta connaissance.

Bruno MARTIN

Pour ne pas cautionner la dérive sectaire, adhérez à l'ULRF

  <ADHESION>

Comments

[RMET]

Le servile François NA..PO..LI,copain et porte-serviette de Guy DEB..UIS..SON qui l'a remercié en le ceignant d'un beau tablier bleu, sait sans doute de quoi il parle à propos d'internet. Vendeur
de bien-être et de développement personnel en ligne, il a oublié de mettre le respect et le savoir vivre à son catalogue.Facilement repérable sur les colonnes grâce à la luminosité de son smart ou
androïd dernière génération, le François se contrefout de ce qui se passe autour de lui..Et en plus il devient moraliste!

[Sancho]

effectivement pour tous les nazillons, Internet est dangereux ! on l'a vu pour toutes les révolutions du monde arabe ! et si il n'y avait pas eu Internet un petit gros continuerait a se prélasser
en hotel 5 etoiles et voyages en first avec se smala sans aucun soucis!!

[Bruno Martin]

Ils sont toujours prêts à ordonner, à sanctionner, et ils semblent inaccessibles au doute. Tant pis pour eux, nous savons tous que le doute est le début de la Foi.

[Jean-Pierre LAMON]

L'écrit est anonyme, le pamphlet, la satire, la fresque pariétale aussi.La lettre (sans esprit) peut être anonyme, écrite, autant en 1942 qu'en 2011, par un corps qui n'est pas beau, qui n'est
qu'un corps vidé.

L'auteur n'est pas anonyme, il est en possession d'une carte d'identité ou se fait situer par un pseudonyme, ou un hétéronyme :
ainsi Rabelais devant la Sainte Inquisition,
ainsi Vercors devant Kollabos et Gestapo,
ainsi Bruno Martin
devant la bêtise et la déloyauté ou l'intolérance de ses détracteurs et ennemis, certes moins dangereux ou criminels que la Guépéou ou la Stasi, mais tout aussi ... incommodes et inconvenants et
plus folkloriques que ces tristes exemples qui n'ont ici que l'hyperbole pour raison rhétorique ...
mais c'est vrai : les mauvais compagnons ont bien lu les textes, mais n'ont rien compris au film ; ils sont enfermés dans LEUR logique autistique ; l'altruisme "leur est inconnu".

Quand le simple droit de n'être point d'accord est dénié par un détenteur de l'autorité qui luxe le règlement à son avantage - quel qu'il soit ! - lorsque la sanction est disproportionnée à la
critique reçue, et vise, non à la réfuter mais à l'anéantir, alors le recours au pseudonyme est légitime, légal et justifié

- d'autant que je n'ai personnellement vu d'insultes vis-à-vis du GM qu'au tout début du conflit, dans une Province maritime par ailleurs fort éprouvée. signant de mon nom ,comme je le fais ici,
j'ai demandé que soient retirées ces insultes plus infamantes pour les proférateurs que pour la victime (qui n'a pas besoin d'eux pour cela !), ce qui fut fait !
Je me dois de signaler ici que mon humour m'a une ou deux fois entraîné un peu trop loin, et JE ME FAIS UN DEVOIR DE REMERCIER BRUNO MARTIN DE NE PAS M'AVOIR PUBLIE, témoignant ainsi de son sens de
la mesure, même si son caractère est parfois tenté par la véhémence ... souvent le désespoir s'exprime ainsi !

"QUE CELUI QUI N'A JAMAIS PÉCHÉ LUI JETTE LA PREMIÈRE PIERRE"

[Bruno Martin]

Cela je ne devrais pas le laisser passer parce que ma modestie va en souffrir.


Mais je ne résiste pas au souffle de ton amitié fraternelle.


 


Bien à toi mon F,