FS n’a plus d’espoir que dans la scission pour sauver l’invraisemblable projet qu’il avait formé de s’approprier la GLNF
Mais ses valeurs, essentiellement métalliques, ne sont pas les nôtres.
Ce qui est pour nous l’institution qui incarne et porte notre idéal ne représente pour lui que la possibilité d’un pouvoir absolu sur une population crédule, et une « pompe à phynances » .
Nous appartenons à la GLNF, comme elle nous appartient.
Stifani et consorts ne sont pas en mesure de comprendre ce lien qui nous unit à nos idéaux. Les prédateurs n’ont vu que la proie dont ils se sont emparés, sans coup férir, en la prenant au piège du détournement d’engagements sacrés.
Mais les « idiots utiles », que nous avons été, se sont réveillés.
Ils ont reconnu le loup qui parlait leur langue, déguisé en berger. Ils se sont rappelé qu’ils ne sont pas dotés seulement de la truelle du bâtisseur, mais aussi de l’épée du chevalier. Et aujourd’hui nous assiégeons le mur judiciaire érigé par les envahisseurs.
Nous ne leur abandonnerons jamais la GLNF dans laquelle ils sont maintenant prisonniers. Ce serait une démission indigne de FFMM, et une insulte à la mémoire de nos anciens.
Nous les chasserons pour réintégrer notre maison et lui rendre son honneur.
Nous combattons la scission espérée par les envahisseurs. Les plans de la nouvelle Obédience en chantier serviront à réorganiser notre institution dans le respect de la Règle et de la tradition. En attendant, elle recueille et soigne les blessés, avant de réintégrer avec nous notre institution libérée des envahisseurs.
Bruno Martin