Cette lettre, en date du 28 mars dernier nous inspire de vives réserves en ce qu'elle manifeste de la part de son auteur, sauf le respect qui lui est dû, une complaisance à l'égard du fossoyeur de la GLNF que nous ne partageons pas.
Il n'est plus nécessaire de lui permettre de sauver la face pour sauver la nôtre: il nous a tous salis. C'est en outre sans intérêt puisque son masque est tombé et que nous le voyons en chaque occasion sous son vrai jour, lequel n'a rien à voir avec la FM.
Il ne saurait être question de lui permettre de s'effacer paisiblement à l'issue d'un mandat prolongé par le mépris de nos textes et de nos valeurs, qu'il a violées avec la complicité de FF dont il a réveillé les instincts qu'ils étaient supposés combattre en FM.
Encore moins sera-t-il question de laisser se réinstaller, sous prétexte de représentation de toutes les sensibilités, des FF trop représentatifs des recrutements guidés par la copinage et les critères sociaux économiques, qui déjà tentent de s'accrocher au wagon Alain JU...ET pour se refaire une santé.
Chaque jour que nous reprendrons à François ST...NI aura valeur de symbole. Nous devons, en le chassant, montrer notre capacité à nous reprendre après des années de pusillanimité dont il a profité pour faire main basse sur notre institution.
Et bien entendu nous ne prendrons aucun engagement qui le protégerait des conséquences d'un jugement défavorable. La couleuvre est trop grosse.
Vous trouverez le texte intégral de la lettre avec le commentaire de Tamino sur le Myosotis ligérien: link
Bruno MARTIN