C'était écrit, c'est arrivé: Jacques CAM...BON, en pleine gestion de son transfert, a expédié à Stifani un message un peu mièvre, et léchouilleur bien qu'il s'en défende, pour lui montrer d'une part combien il comprend le courage qu'il a fallu au TRGM pour résister à la méchanceté et à l'injustice dont il est la victime, mais que d'autre part, la calomnie ayant fait son oeuvre, il doit, dans l'intérêt de "l'Ordre", sous la pression des FF ("vox populi ..." sic), abandonner son mandat. On appréciera le "vox populi".
Bien entendu Stifani n'a pas attendu la démission conditionnelle annoncée pour le débarquer, et voilà un opposant avec un passeport tout neuf pour l'Andorre ou ailleurs.
Sauf que c'est un peu facile de se retourner contre celui qu'il a soutenu abandonner son mandat (cf. la lettre collective qu'il cosigne avec Christian BON...ZI, page 1, page 2), au profit duquel il a trahi son prédécesseur pour prendre sa place, et aussi spolié la Province d'Occitanie de son patrimoine immobilier dévolu à la GLNF. Grâce à cette opération, les FF de la province qui auraient au bout de quelques années amorti leurs locaux devront payer à vie un loyer à la GLNF. Super! Les tabliers sont décidément hors de prix!
On peut aussi se rappeler que lorsqu'il était aux affaires et assuré de l'impunité pour lui et ses amis, il n'agissait pas différemment de Stifani, au style près. Peu d'hommes ont utilisé autant que lui la notion d'Ordre, parfaitement injustifiée, à la place de celle d'Obédience, pour s'arroger un pouvoir discrétionnaire au nom d'une mystique toute personnelle.
Aussi, la lettre ci-jointe qui lui fut adressée le 3 juin 2009 eut-elle pour conséquence la radiation de son auteur par ledit Jacques CAM...BON, à l'issue d'un bref parcours via Guy DEB...UIS...SON (avec un rapport d'entretien grossièrement mensonger), Michel BOUL...BES (avec un faux témoignage pour le cautionner), et autres membres d'un Conseil de discipline composés de braves gens tels: Pierre-Jean ES...CRI...BE, Yves SA...EZ, etc.
Alors d'où qu'il vienne, et sous quelque étiquette qu'il se donne, recevez-le ou non selon ce que sera votre décision libre, chacun ayant droit au pardon, mais sachez qui il est.
Bruno Martin